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... un truc de nana ...

Jeudi 2 décembre 2010 à 0:09

Chacune d'entre nous a déjà flasher sur une paire de chaussure tellement parfaite que lorsqu'on les voit à travers la vitrine, on s'arrête et on crie pour appeler nos copines et leurs dire qu'on a trouvé ce qu'on été venu chercher.

Maintenant remplaçons ces chaussures par un homme, grand, beau, classe et sexy, le genre de type tellement parfait que pour montrer à ses amies qu'il a fait chavirer votre cœur, vous utilisez des noms de codes tels que « carottes » par exemple...

Imaginons donc qu'en tant que grosse veinarde, vous repartirez mains dans la main, ou langues dans la bouche avec l'apollon de vos rêves. Vous aurez l'impression d'être sur un petit nuage et comme avec vos nouveaux escarpins, vous vous sentirez tellement fier de vous exhiber avec que de ce fait vous serez plus belle que jamais.

Mais que faisons-nous lorsque la superbe paire de chaussure commence à nous créer des ampoules, faisant de chacun de nos pas une torture ?  
On se contente d'enrouler nos pieds dans du sparadrap, et de continuer à les utiliser malgré la douleur, parce que comme on vient de les acheter, on trouve ça tellement génial de les avoir qu'on en oubli notre mal de pieds. Car, en effet on a pour habitude de dire qu'il et normal que l'on ait mal au pied, et qu'il faut attendre que la chaussure prenne la forme de notre pied.

Donc même si notre nouvel apollon nous mène la vie dure, devons nous écouter notre cœur et laisser le temps passer même si nos journées sont parfois gâcher ? Ou devrons nous écouter notre raison qui nous dit que cette paire de chaussure irait beaucoup mieux aux pieds d'une autre, et que nous devrions essayer les chaussures avant de les acheter pour être sûre de ne pas regretter, par la suite, nos achats ?

Écouter notre raison serez sûrement préférable, car on sait très bien que, plus on s'attachera à ces chaussures, plus il y aura de dégâts, et qu'on finira les pieds en sang portant des tongs le temps que le tout cicatrise. Comme quand nos copines nous récupèrent à la petite cuillère pendant des jours parce que notre cœur est en milles morceaux.

Et que dire de la paire de chaussure trop petite que l'on a acheté en solde parce que c'est la seule qui restait, se disant qu'on l'agrandirait avec du papier journal ?
On sait pertinemment qu'elle ne nous va pas, mais sur un coup de cœur on les prend quand même.
Alors en cherchant coûte que coûte à changer un homme pour en faire ce que l'on veut n'est ce pas du suicide sentimental ? N'est ce pas s'investir dans une relation voué a l'échec et prendre le risque d'en ressortir démolir ?

Somme-nous désespérées au point de vouloir s'aventurer avec n'importe quel type ?
Car au final, on voit bien que si on ne choisit pas la parfaite paire de chaussure, aussi bien magnifique, que confortable, on finira par boiter avec n'importe quel autre escarpin ...
Si on choisit le mauvais compagnon, que l'on s'y attache, qu'on lui donne tout l'amour que l'on a et que l'on se retrouve néanmoins le cœur brisé, toutes nos relations à venir en souffrirons certainement, car notre peur d'échouer sera de plus en plus grande.

Le cœur est-il chez les femmes ce que la bite est chez les hommes, le seul élément avec lequel on réfléchit ..?

Si on se fiait plus à notre cerveau qu'à notre cœur peut être que les dégâts seraient moins conséquent et moins répété, mais encore faudrait-il que notre cœur ouvre les yeux.
C'est à cause de cette passion, ce désir et cet amour qui rend aveugle que l'on ne s'aperçoit pas que ces chaussures qui sont bien trop inconfortable nous créent des ampoules et que l'on continue à marcher malgré la douleur.

Mais alors comment faire pour ouvrir les yeux avant qu'il ne soit trop tard ..?

Jeudi 2 décembre 2010 à 0:06

 
J'ai une amie qui vient de rompre avec son copain, c'est donc une toute jeune célibataire, et elle est confronté à une situation que l’on a toutes connues un jour, un de ces phénomènes tellement étrange qu'il est normal que le sexe masculin en soit l'auteur.

 

Vous êtes vous déjà rendu compte que lorsqu'on est en couple depuis pas mal de temps avec un homme, et que votre relation commence a devenir sérieuse, c'est souvent à ce moment là que d'autre prétendants commencent a s'intéresser a vous, et à vous faire de plus en plus d'avances... alors que lorsqu'une fille est 100% célibataire et qu'elle cherche une relation stable, personne ne s'intéresse jamais à elle ? Je dis bien une célibataire en quête de relation stable, parce qu'une fille en quête de CDD (Copain à Durée Déterminé) trouve toujours preneur.

 

Alors les hommes ne sont-ils que des animaux, dont l'instinct primitif les incitent à chasser continuellement ce qui appartient aux autres pour  prouver qu’ils sont les rois de la jungle ?

 

Certains disent que ce genre de mecs préfèrent les filles en couples, car ça leur permet de mettre leurs « Roi Lion » dans la « Jungle » des filles sans prendre aucun engagements. Ils conservent donc ainsi toute leur liberté.

 

Mais si les hommes ne veulent que jouer avec leur « Indiana Jones » et débroussailler la « Jungle », alors pourquoi ne le font-ils pas avec une « Marie couche toi là » ?  Il y en a pourtant de partout, les bars, les boites, et les soirées en sont remplis. Et la encore, nos hommes en tant que redoutable prédateurs savent qu'il est préférable d'avoir terrassé un tigre prestigieux, plutôt qu'une pauvre gazelle sans défense, car la au moins, ils pourront rugir de toute leur force et crier au monde entier, qu'ils ont réussit a se serrer un morceau de choix.
 Plus on regarde nos mâles agir, plus on se rend compte qu'ils ressemblent en tout point à des animaux.

 

L'important c'est le voyage, pas la destination... et bien pour les garçons, c'est pareil, ce n'est pas tant le besoin d'une nouvelle fille qui les réjouis, c'est le plaisir de chasser.Tel des lions entourés de leur harem de lionnes, les hommes aiment avoir une liste de conquête respectable à leur compteur.

 

Lorsque les animaux veulent gagner une femelle de plus, ils doivent se battre jusqu'à l'abandon ou la mort des autres prétendants de la belle.
Alors est ce pareil pour les êtres humains ? 

 

 

 Ne sommes-nous que des pions avec lesquels ils jouent, dans le but de mieux s'affronter ...?

 

Jeudi 2 décembre 2010 à 0:00

Nous savons toute appréciée ce sentiment intense qui nous libère quand nous nous attaquons directement aux hommes, que ce soit par des gestes, des paroles, ou encore par l’écriture, mais cette réaction ne serait elle pas un moyen de se protéger d’un amour qui pourrait nous détruire ? les femmes ne recherchent elles pas précisément une relation durable ? Et si le rêve cacher de toutes femmes ne serait pas d’avoir une brosse à dent à coté de la sienne, de se disputer pour ensuite l’embrasser tendrement, ou rien que d’aller au restaurant avec lui… Les hommes sont peut être des brutes épaisses qui ne savent pas forcément comprendre et agir en fonction des femmes (il faut avouer que nous sommes des espèces plutôt mystérieuses), mais d’un autre côté, ne serais-ce pas nous qui les amenons à devenir ce qu’ils sont tous ?

Il est difficile, que ce soit pour un homme ou pour une femme, de s’imaginer vivre toute sa vie célibataire, avec pour seule compagnie un labrador ou un chiwawa… chaque célibataire endurcit espère avoir une amie qui restera toujours avec elle pour vivre, loin des hommes, dans un cocon féminin, un amour de petites filles. Mais cette utopie en est elle vraiment une ? Et ce rêve est il envisageable alors que l’aboutissement de la vie d’une femme est la famille ? Est ce l’âge et la maturité, qui amène les adolescentes à avoir de plus en plus envie de fonder une famille et de s’abandonner dans une relation stable ou est-ce plutôt le désespoir des années qui passent qui nous font redescendre sur terre et nous oblige à trouver un homme qui nous accompagnera tout au long de notre vie ?

Pour ma part il me semble que chaque femme se referme sur elle-même. On a beau vouloir montrer une certaine facette de nous, on ne lâchera jamais le voile qui cache notre visage. La peur nous ronge toutes, et il est dure de l’avouer à un homme surement de peur qu’il nous utilise et nous détruise. Mais est ce vraiment la meilleure manière de se protéger contre lui que d’immiscer une barrière entre son cœur et le notre ? au fond de toute femme se cache une partie que l’on veut cacher : certaines se montrent en tant que femmes fortes et sûr d’elles, immunisées contre la douleur et la souffrance des relations amoureuses, d’autres apparaissent plutôt comme des créatures sensibles, faibles et naïves, qui attendent un homme forts pour les protéger… mais ce que nous montrons aux autres n’est pas forcément ce que l’on ait. Nous avons toutes une part de faiblesse quelque part en nous, une part de sensibilité, et l’envie de donner tout l’amour que nous emmagasinons en attendant un jour de trouver le bon. Mais peut être qu’en s’opposant ainsi à l’amour que certains hommes acceptent de nous donner on passe à coté de beaucoup de choses, que ce soit du bonheur ou la découverte d’une partie cachée de soit.

… et pourquoi pas pour une fois se laisser vivre sans retenu et offrir tout ce que l’on peut faire partager à un compagnon parce que finalement ce qui nous empêche d’avance c’est la peur d’échouer…

Mercredi 1er décembre 2010 à 23:44

 Aujourd'hui petit débat avec ma meilleure amie, Jessica, parce qu'on est carrément pas d'accord sur le « sujet mec », ou plutôt, le « problème mec ». Oui parce qu'il faut tout de même avouer que c'est un problème. Pour les couples ... c'est la galère, ou plus ou moins. Et pour les célibataires, il y a deux catégories. Celles qui cherchent désespérément le prince charmant, et celles qui décident de s'amuser un peu avec ces messieurs.

Et selon Jess, même si on appartient à la catégorie des célibataires qui s'assument et qui préfèrent prendre leur pied plutôt que de se prendre la tête, à un moment donné, sous l'effet de la société, on va devoir se trouver un homme pour fonder une famille, comme la coutume le veux.

Et je me suis demandée a quel point elle avait raison. Selon elle, lorsque les gens voient une famille qui semble heureuse on leur dit « quelle belle famille ! » les compliments se bousculent pour féliciter l'aboutissement d'une vie, même si au fond, ils ne sont pas aussi heureux qu'ils ne paraissent.

Mais une célibataire de 40 ans qui a préféré bâtir une carrière plutôt qu'une famille va-t-elle tout de suite être assimilé à une femme en manque qui ne parle que de ses chats ou de ses labradors, même si elle est 100 fois plus heureuse que la famille faisant des sourires forcés sur toutes les photos ?
Au 21eme siècles trop de gens osent catégorier les femmes en fonction des choix qu'elles font.
 Il semblerai que les femmes doivent toujours légitimer leurs décisions en expliquant a tout leur proches pourquoi elles préfèrent rester seule, alors qu'un homme de 40ans se ferrait il aussi « jetter » de chez lui si il ne trouvait pas une femme pour laver ses boxer ?

Ça a commencé en primaire avec le besoin de se trouver un « amoureux » et ça va finir a 40ans dans des soirées remplis de couple affichant un bonheur exagéré prouvant ainsi qu'ils sont plus heureux que vous et en vous présentant tout les jours un homme différant ... et si c'était une honte d'être une femme célibataire ?

Je pense que ce sentiment de honte a commencé le 25 novembre 307, date a laquelle sainte Catherine sera décapité pour avoir humilié l'empereur Maxence en refusant sa demande en mariage. Depuis ce jour, le 25 novembre est devenu la fête des filles de 25ans qui n'étaient pas marié, et de ce fait elles devaient porter des chapeaux de couleurs vert et jaune et le plus extravagant possible, pour attiré l'oeil des hommes et enfin trouver un mari.

 Cela fait donc 1703 ans que la société estime que pauvre femme que nous sommes, nous ne pouvons vivre sans un homme a nos cotés.

Alors devons nous aussi participer au passe temps de l'amour afin de finalement correspondre a l'idéal que tout le monde semble se faire de l'aboutissement de la vie ? Ou devons nous continuer a nous amuser, sans jamais ce soucier de ce que les autres peuvent penser ?

Et ça c'est un sujet sur lequel j'ai besoin d'encore beaucoup de réflexion .. .. ...

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